Fort·e·s de nos différences

 "La serpillière", est un écrit imitant les campagnes publicitaires, qui, par leurs mots, suscitent aux consommateurs d'acheter leurs produits. Je l'ai fait dans le cadre d'un devoir en seconde où la consigne était d'introduire des procédés d'écriture. J’ai pensé à la serpillière car c’est un objet ménager pas très glamour et que le mettre en avant à la place de ces parfums et voitures que l’on voit toujours à la télévision est très marrant et distinct ! Voici donc « PropraSerp , une serpillière d’enfer pour un paradis prospère de propreté » Elle glisse comme une anguille, caressant les rochers de saleté sur son passage. Fine comme une toile d’araignée, les insectes de miette seront pris au piège. Robuste comme un filet de pêcheur, les poissons de poussière seront coincés dans ses mailles. Et ainsi, d’une douce violence, disparaissent d’un coup de bras tous vos tracas ! La serpillière, oui, fera de vous le roi de la propra. Propraserp , une serpillière d’e

Mon poème en vers libre parle d'une femme africaine, Miriam El-Kahim. Très courageuse et spontanée elle rêve.  Depuis toujours e lle souhaite immigrer dans un pays où elle pourra vivre comme elle l'entend, et être elle-même.   Je l'ai rédigé en compagnie de Mme Lautru-Durand, la consigne était d'écrire en 5 min un texte incluant les mots "je suis, je viens, je vais" comme dans le film A voix haute .  Il aborde le sujet de l’immigration que j’ai étudié avec Mme Jacquet Gibert en seconde.  Je l’ai écrit l’année dernière.   Je suis une battante, je suis courageuse.   Je suis une femme, un esprit libre, une croyance.   Je suis partout, ici ou bien ailleurs, je suis moi.   La moi d’autrefois, la moi d’aujourd’hui, la moi de demain.   Je suis Miriam El-Kahim et je suis ce que je suis.    Je vais découvrir, rencontrer, explorer.   Je vais partir, mais partir où ?  Je ne sais pas encore,   Peut être que je le saurai dans des jours, des mois ou des années.   Je vai